L’ASPC étudie les variantes du COVID-19 en vue d’une éventuelle résurgence à l’automne.
L’administrateur en chef de la santé publique du Canada déclare qu’elle se prépare au « pire scénario » de variantes du COVID-19, alors que les premiers signes indiquent une résurgence du virus à l’automne.
Devant le comité de la santé de la Chambre des communes, le Dr Theresa Tam déclare que l’Agence de la santé publique du Canada suit de près l’évolution des variantes Omicron, qui sont les sous-variantes les plus courantes dans le pays.
Mme Tam explique qu’au début de la pandémie, le virus mutait de toutes sortes de façons, car il n’y avait aucune immunité due à une infection antérieure ou à des vaccins.
Maintenant, dit-elle, les mutations ont été limitées car le virus est poussé à trouver des moyens d’échapper à l’immunité.
Tam dit que le pire scénario est que les variantes trouvent un moyen de contourner l’efficacité des vaccins et des traitements avec des anticorps monoclonaux.
Elle ajoute qu’il semble y avoir une légère augmentation récente du nombre de personnes qui choisissent de se faire vacciner, maintenant qu’ils offrent une protection contre les souches plus récentes du virus.
Ce rapport de la Presse Canadienne a été publié pour la première fois le 18 octobre 2022.