Ce que dit la recherche sur les effets secondaires du vaccin COVID-19 au Canada et le nombre de vies sauvées par les vaccins aux États-Unis.
Après avoir reçu mon premier vaccin COVID-19, j’ai ressenti des effets secondaires. Environ 10 heures après la piqûre, j’ai eu des frissons, même s’il ne faisait pas froid.
J’ai également eu un mal de tête. Je n’ai eu aucun problème avec ma deuxième vaccination. Dans les deux cas, j’ai reçu du produit AstraZeneca.
Je n’ai aucune idée si ces doses provenaient d’un vaccin créé dans une usine de fabrication de vaccins. usine de Baltimore qui a été critiquée par la Food and Drug Administration américaine.
Par curiosité, j’ai décidé aujourd’hui de me pencher sur les effets secondaires des vaccins COVID-19. Cette décision a été prise en réponse aux critiques selon lesquelles je n’ai pas accordé suffisamment d’attention à cette question.
Selon le site du gouvernement fédéral, plus de 52 millions de doses de vaccin avaient été administrées au Canada en date du 20 août.
Environ trois personnes sur 10 000 ont signalé un ou plusieurs effets indésirables.
« Sur les 13 445 rapports individuels, 9 923 ont été considérés comme non graves (0,019 % de toutes les doses administrées) et 3 522 ont été considérés comme graves (0,007 % de toutes les doses administrées) », précise Santé Canada.
Il y a eu 160 rapports de réaction allergique grave aux vaccins COVID-19 au Canada.
De plus, il y a eu un nombre non divulgué de cas de thrombose avec thromocytopénie dus aux vaccins AstraZeneca/COVISHIELD COVID-19.
L’Agence de la santé publique du Canada et Santé Canada » surveillent activement les rapports de syndrome de Guillain-Barré (SGB) au Canada suite à la vaccination par AstraZeneca/COVISHIELD COVID-19 et ont observé un nombre de cas plus élevé que celui auquel on pourrait normalement s’attendre dans la population générale « . Aucun chiffre n’a été publié.
Parmi les autres problèmes surveillés, on trouve des rapports internationaux de « myocardite (inflammation du muscle cardiaque) et de péricardite (inflammation de la paroi autour du cœur) suite à la vaccination avec les vaccins à ARNm COVID-19 ».
« Les données au Canada indiquent maintenant un nombre plus élevé de cas chez les personnes plus jeunes (c’est-à-dire âgées de moins de 40 ans) que ce à quoi on s’attendrait normalement dans la population générale », indique Santé Canada. « Santé Canada a mis à jour le monographies de produit pour les vaccins Moderna et Pfizer-BioTech COVID-19 afin d’inclure des informations sur ces risques. »
Des rapports internationaux ont également été publiés et des mesures réglementaires ont été prises concernant le syndrome de fuite capillaire et le vaccin COVID-19 d’AstraZeneca/COVIDSHIELD. Cela a conduit à une mise à jour de la monographie du produit.
La même chose s’est produite avec la monographie du vaccin de Pfizer-BioNTech en relation avec des rapports de paralysie faciale/paralysie de Bell suite à des vaccinations COVID-19. Là encore, aucun chiffre n’a été publié sur le site Web de Santé Canada.
» Les avantages des vaccins autorisés au Canada continuent de l’emporter sur les risques « , affirme Santé Canada.
Selon les autorités fédérales, tous les événements graves sont examinés afin de déterminer si des mesures sont nécessaires pour améliorer la sécurité.
Le 30 août, la Nouvelle-Zélande a signalé son premier décès lié au vaccin Pfizer-BioNTech, selon l’agence Reuters. Un comité de surveillance des vaccins a conclu que le décès d’une femme était dû à une myocardite, qui aurait été » probablement due à la vaccination « .
Pendant ce temps, une étude par l’économiste de la santé de l’Université d’Indiana Sumedha Gupta et l’économiste de la santé de la RAND Corporation Christopher Waley ont conclu que les vaccins COVID-19 ont permis d’éviter plus de 140 000 décès aux États-Unis d’ici mai 2021.
Le National Institute on Aging, qui fait partie des National Institutes of Health, a soutenu l’étude. Les résultats ont été publiés dans la revue Health Affairs.
Il y a eu rapports de « personnes influentes » encouragées par la Russie à semer le doute sur le vaccin Pfizer-BioNTech.
L’un des influenceurs anti-vaccination, l’animateur radio conservateur de Floride Marc Bernier, est récemment décédé après avoir contracté le COVID-19. Il aimait se faire appeler M. Anti-Vax lorsqu’il était à l’antenne.
https://twitter.com/NewsDaytonaBch/status/1431770446282768388