La Maison Blanche invite des dizaines de pays pour un sommet sur les ransomwares
La Maison Blanche réunit trois douzaines de pays, l’Union européenne et un grand nombre d’entreprises du secteur privé pour un sommet de deux jours qui débutera lundi et qui examinera la meilleure façon de lutter contre les attaques par ransomware.
Le deuxième sommet international sur la lutte contre les ransomwares se concentrera sur des priorités telles que l’amélioration de la résilience des systèmes afin de mieux résister aux attaques et de perturber les mauvais acteurs qui planifient de tels assauts.
Un haut responsable de l’administration Biden a cité des attaques récentes, comme celle qui a visé le district scolaire de Los Angeles le mois dernier, pour souligner l’urgence de la question et du sommet. Le responsable a présenté l’événement sous couvert d’anonymat.
Parmi les responsables de l’administration qui prévoient de participer à l’événement figurent le directeur du FBI Christopher Wray, le conseiller à la sécurité nationale Jake Sullivan, le secrétaire adjoint au Trésor Wally Adeyemo et la secrétaire d’État adjointe Wendy Sherman. Le président Joe Biden ne devrait pas être présent.
Les pays participants sont l’Afrique du Sud, l’Allemagne, l’Australie, l’Autriche, la Belgique, le Brésil, la Bulgarie, le Canada, la Croatie, les Émirats arabes unis, l’Espagne, l’Estonie, les États-Unis, la France, l’Inde, l’Irlande, Israël, l’Italie, le Japon, le Kenya, la Lituanie, le Mexique, le Nigeria, la Norvège, la Nouvelle-Zélande, les Pays-Bas, la Pologne, la République de Corée, la République dominicaine, la République tchèque, la Roumanie, le Royaume-Uni, Singapour, la Suède, la Suisse et l’Ukraine.
Parmi les entreprises qui participeront, citons Crowdstrike, Mandiant, Cyber Threat Alliance, Microsoft, Cybersecurity Coalition, Palo Alto, Flexxon, SAP, Institute for Security + Technology, Siemens, Internet 2.0, Tata — TCS et Telefonica.
Le sommet précédent s’est déroulé virtuellement.