Le gouvernement fédéral promet 1,7 milliard de dollars pour sécuriser les tests rapides COVID-19 très demandés
Les tests rapides COVID-19 étant très demandés et les experts vantant leur importance pour aider à protéger les Canadiens, le gouvernement fédéral propose de dépenser 1,7 milliard de dollars supplémentaires pour sécuriser les fournitures de tests rapides d’antigènes dans tout le pays.
Dans sa mise à jour économique et financière de mardi, le gouvernement propose de donner l’argent à Santé Canada et à l’Agence de la santé publique du Canada, afin qu’ils puissent continuer à aider les provinces et les territoires « à obtenir les fournitures de dépistage rapide dont ils ont besoin pour assurer la sécurité et la santé des Canadiens ». L’argent servirait également à étendre les programmes de dépistage dans les écoles et les lieux de travail.
La mise à jour financière indique que les fonds sont réservés pour l’exercice 2021-2022 seulement.
Le gouvernement fédéral indique qu’en date du 26 novembre, le Canada a acheté 94,9 millions de tests rapides et en a distribué 85,9 millions aux provinces, territoires et communautés autochtones, « gratuitement ».
Bien que les tests rapides – qui peuvent fournir des résultats en 15 à 20 minutes et n’ont pas besoin d’être envoyés à un laboratoire – soient utiles pour détecter le COVID-19, les experts avertissent qu’ils ne sont qu’une des « nombreuses couches de protection » et que .
Ils ne sont pas non plus aussi précis que les tests PCR (réaction en chaîne par polymérase).
THÉRAPEUTIQUE DU COVID-19
Le gouvernement propose également de dépenser jusqu’à 2 milliards de dollars sur deux ans pour acquérir de nouveaux traitements contre le COVID-19, y compris des médicaments antiviraux qui pourraient aider à éviter l’hospitalisation des patients.
Plus tôt ce mois-ci, le gouvernement fédéral a signé des accords avec des entreprises pour acheter leurs médicaments antiviraux, en attendant que Santé Canada approuve les produits.
Le document de mise à jour économique et fiscale prévoit un milliard de dollars pour l’achat de produits thérapeutiques COVID-19 supplémentaires au cours de l’exercice 2021-2022, et un autre milliard de dollars en 2022-2023.