Sask. Le suspect de l’alerte Amber fait face à une nouvelle accusation pour avoir prétendument possédé des arbalètes.
Le suspect qui était au centre d’une alerte AMBER fait face à une nouvelle accusation après que des arbalètes aient été prétendument saisies à son domicile.
La GRC a déclaré avoir fouillé la résidence de Benjamin Martin Moore le 11 août et avoir trouvé et saisi trois arbalètes ainsi que plusieurs flèches et pointes de flèche.
Les enquêteurs de la GRC ont accusé Moore d’avoir enfreint une ordonnance d’interdiction d’armes le 26 août.
Dans le cadre d’une enquête qui a débuté au début du mois d’août, Moore fait également face à une accusation pour avoir prétendument omis de communiquer des renseignements à un centre d’enregistrement dans les sept jours suivant un changement de résidence, comme l’exige la Sex Offender Information Registration Act.
La GRC a indiqué que Moore fera face aux accusations lorsqu’il reviendra au Canada après avoir été libéré de sa détention aux États-Unis. Lui et son conjoint de fait sont toujours détenus aux États-Unis.
L’extradition n’est pas envisagée pour le moment, car les enquêtes policières se poursuivent dans les deux pays.
Moore a été désigné comme suspect lors d’une alerte Amber en août. Il était pour un possible passage illégal de la frontière et un enlèvement, selon les autorités américaines. Les enfants, qui étaient au centre de l’alerte, ont été retrouvés sains et saufs.
Le service des douanes et de la protection des frontières des États-Unis a allégué que Moore, son concubin et ses deux enfants étaient entrés illégalement aux États-Unis en traversant en voiture une clôture de barbelés près du port d’entrée de Turner dans le Montana.
La Section des enquêtes générales de la GRC dirige l’enquête sur les deux allégations contre Moore au Canada, et sur les événements entourant son départ du Canada avec sa conjointe de fait et ses deux enfants.
La GRC a déclaré qu’elle ne pouvait pas communiquer d’informations sur les enfants, mais a confirmé qu’ils étaient en sécurité et recevaient un soutien.
Aucune autre information n’est disponible pour le moment, mais la GRC a déclaré qu’elle fournirait des mises à jour sur l’enquête dès que possible.