Prix féminin de la fiction : 6 finalistes nommés
L’écrivain canado-américain Ruth Ozeki figure parmi les finalistes du Women’s Prize for Fiction de cette année, basé au Royaume-Uni.
Le roman bibliophilique d’Ozeki, « The Book of Form and Emptiness », figure sur la liste des finalistes pour le prix de 30 000 livres (48 000 dollars canadiens), annoncé mercredi. Il s’agit de l’histoire d’un garçon qui commence à entendre des voix après la mort de son père et qui trouve du réconfort dans son propre livre.
Le roman de 2013 d’Ozeki, « A Tale for the Time Being », a remporté le L.A. Times Book Prize et a été présélectionné pour le Man Booker Prize. L’auteur partage son temps entre l’ouest du Massachusetts, New York et la Colombie-Britannique.
La célèbre auteure américaine Louise Erdrich est également en lice pour le prestigieux prix avec son 23e roman « The Sentence », qui se déroule dans une librairie hantée de Minneapolis.
La liste des six livres sélectionnés comprend également le livre de Lisa Allen-Agostini, humoriste trinidadienne, « The Bread the Devil Knead », une histoire caribéenne de violence sexiste et de libération.
Les finalistes comprennent également le roman audacieux et drôle de l’auteur néo-zélandaise Meg Mason sur l’amour et la maladie mentale, « Sorrow and Bliss » ; l’histoire d’amour de l’auteur turco-britannique Elif Shafak à Chypre, « The Island of Missing Trees » ; et « Great Circle » de l’écrivain américain Maggie Shipstead, l’histoire d’une aviatrice pionnière et de son héritage.
Fondé en 1996, le prix est ouvert aux écrivaines de langue anglaise du monde entier. Parmi les lauréats précédents figurent Zadie Smith, Tayari Jones et Maggie O’Farrell. Le lauréat de l’année dernière était la fantaisie littéraire « Piranesi » de Susanna Clarke. »
Le lauréat du Prix des femmes 2022 sera choisi par un jury dirigé par la journaliste britannique Mary Ann Sieghart et annoncé le 15 juin lors d’une cérémonie à Londres.
— Avec des fichiers de la Presse Canadienne